Dès lors que des propos sexistes ou racistes sont tenus, même sur le ton de l’humour, ils peuvent aboutir à un licenciement pour non-respect de son obligation de sécurité. Ce que les juges vont regarder un priorité, c’est si ces propos sont de nature à porter atteinte à la santé psychique d'autres salariés. Illustration avec le cas d’un directeur commercial pourtant soutenu par de nombreux collègues.